Rapport Psychologique de Fairyfinger

Par où commencer ? Vous savez ma vie était plutôt banale jusqu'à ce que... enfin vous le savez autant que moi. À partir de ce moment-là tout c'est enchaîné très vite, trop vite dirait certain. Mais je pense que l'on ne peut pas se définir sans base et ma définition commence avec la banalité.

Né un 24 Janvier 1979 à Lawrence au Kansas, Premier né de la famille, mon frère cadet viendra au monde le 2 mai 1983 et mourra le …. Mais on y reviendra plus tard. Mon père était boucher à Lawrence et ma mère Fille d'un propriétaire de ranch à quelques miles de là. Ils se sont rencontré très jeune car mon grand-père paternel était déjà boucher et son père aussi enfin bref dans la famille le premier Garçon né reprenait l'entreprise familiale. Et c'est tout naturellement que mon père m’appela Butch, dans l'espoir que ce nom me fasse reprendre l'héritage.
Du coup, je grandis avec cette propagande d'être boucher plus tard. Mais aussi mon grand-père maternel qui m'a transmis sa passion des western et qui m'appris même à tirer !

Vous voyez ? Une vie banale comme tout le monde a quoi... Jusqu'à ce fameux jours de l'abeille. J'avais 12 ans à l'époque quand une nuit d'été particulièrement chaude je fis un cauchemar. Un univers complètement en ruine, des débris partout, une lune surdimensionné  à moitié ravagé. Un lieu où tout le monde rêve d'aller en vacances sans mauvais jeu de mots ! Puis une dame En costume blanc et un homme en costume noir qui viennent me parler, un charabia incompréhensible pour un enfant de mon age... Puis réveil en sursaut et ayant du mal à respirer comme si j'avais avalé quelque chose. Sur le coup, j' avais mis ça sur le compte de la chaleur, mais en y repensant mon frère, lui, n'avait pas semblé affecté cette nuit là.

Comprenons nous bien si je vous raconte tout ça c'est que j'en ai besoin pour savoir où j'en suis, Car très certainement vous avez tout ça dans un dossier bien rangé quelques part sous nos pieds.

J'en était où déjà ? Ah oui ! Mon frère cadet ! Une vrai pile ! Toujours touche à tout et insouciant du danger. Vous savez à l'époque je l'enviais, Lui il n'avait pas de route toute tracé, il pouvait faire ce qu'il voulait et lui m'enviait car c'était simple pour moi. C'est souvent que l'on se battait sur le sujet et que ça finissait en vrai bagarre. Mais la dernière, la dernière marqua à jamais mon destin. Vous savez très bien comment un pouvoir non maîtrisé peut impliqué sous le coup d'une émotion forte. Encore aujourd'hui je vais le voir au cimetière de Lawrence. Et c'est là que tout c'est enchaîné : la découverte horrifié de mes parents de mon don, la lettre reçues spécifiant qu'il y avait un endroit pour les « gens » comme moi, mon entrée à l'université d'Innsmouth et ma rencontre avec Naomi.

Ce qui était intéressant à l'université c'est que nous étions divisé en deux groupes, ceux qui « savait » et ceux qui avait juste des habilités spéciales. Naomi et moi étions dans le deuxième groupe. Ah les amours de jeunesse ! Vous savez comment c'est ! D'abord une approche timide puis une sortie négligente en voiture et le fameux coup de la panne aujourd'hui j'en rigole et j'en ai un peu honte mais à l'époque ça me semblait un plan drague on ne peut plus sérieux et ça à marché !

Les années passées à l'académie sont les meilleurs pour moi. Une sorte de rêve éveillé que j'ai vécus à côté de Naomi. Mais quelque chose n'allait pas dans son comportement, elle se posait des questions sur le groupe qui « savait ». A chaque fois qu'elle abordait le sujet, je le résolvais par un câlin sous la couette.

Mais, un beau matin Après l'obtention de notre diplôme tout ce que j'ai retrouvé à côté de moi c'est un mot avec écrit dessus « Il faut que je sache ». Au début je me suis dit qu'elle finirait par revenir d'ici un ou deux jours Mais au bout d'une semaine sans nouvelle de sa part je me posais des questions. Je finis par mener l'enquête de mon côté. Mais à chaque fois je tombais sur une impasse. Car tous ceux que interrogeais, personne n'avait entendu même son nom. Je commençais à désespérer quand celui qui tenais le pressing auquel je me rendais régulièrement ce mis à avoir des discours pour le moins suspect. Un mot fut retenus dans ses propos illuminatis.

Attention n'allez pas croire qu'il sait quoi que ce soit sur vous c'est juste un fabuliste qui crie à qui veux l'entendre qu'il à vus un Dragon, mythologique s'entend. Et ensuite, ben la suite vous la connaissez mieux que moi ? Un homme qui toc à ma porte et qui me parle de vous, les égouts, la capture, l’implémentation d'une puce enfin... En tout cas merci de m'avoir écouté, maintenant je dois vous laissez car on m'envoie en mission sur Solomon Island pour enquêtez sur la brume... Peut être y ferais-je des rencontres intéressantes...

Impressionnante présentation tant par sa complexité que par sa longueur ! Je t'avoue que la première fois je n'ai pas eu le courage de la lire en entier  .